Le blog de Benoit Duverneuil. Webdesign, e-Design, design interactif, création graphique...



Tout savoir sur la TNT

0 comments

C'est aujourd'hui que démarre la TNT en France. Qu'est-ce que c'est, comment ça marche...? Whynet.org nous explique tout avec un petit dossier sur le sujet.


Google se met à l'impressionnisme

0 comments

Petit clin d'oeil de Google avec un nouveau logo :


Nokia sur la vague de la vidéo marketing

0 comments

Vous vous souvenez des excellentes petites vidéos humoristiques diffusées par la SNCF qui ont fait le tour des bureaux il y a quelques mois? Aujourd'hui, c'est au tour de Nokia de s'essayer au marketing viral utilisant ces petits spots drôles et décalés. Deux vidéos dont la chute dépendra de vos choix vont donc très certainement se répandre comme une trainée de poudre sur le web dans les semaines à venir. Si vous ne pouvez pas attendre de les recevoir dans votre boîte mail, le lien ci-dessus sera votre salut.


La Russie organisera sa Webjam

0 comments

La ville d'Obninsk et la Région de Kaluga participeront à la nouvelle édition du WIF. Située dans le Sud de Moscou, c'est dans la "Maison des Savants" que la ville d'Obninsk accueillera les compétiteurs.


Graniware, journée de brainstorming

0 comments

Comme vous avez pu le lire dans un de mes posts précédents, Graniware est un outil libre permettant de créer et d'animer efficement ses "communautés d'usage". Le GNU est en plein développement. Après plusieurs mois de tests, une rencontre a lieu en ce moment même avec différents prestataires régionaux ayant déjà développés sur l'outil. Une journée complète d'échanges ayant pour objet de pointer les forces et les faiblesses et d'imaginer les développement de briques de services à venir. N'hésitez-pas à tester par vous même et à faire remonter vos remarques.


Assemblée Générale de CREATIF

0 comments

L'association "CREATIF" qui milite pour l'accès public et l'appropriation citoyenne des technologies de l'information a tenu son AG ce mercredi à Paris. Vous trouverez le compte-rendu dans le lien. Suite à l'AG, table-ronde autour des questions d'évaluation des dispositifs d'accès publics à Internet. Plus d'infos à ce sujet très bientôt puisque je démarre cette phase dans quelques jours en région.



OPQUAST est un référentiel de bonnes pratiques pour la qualité des services en ligne.
Outre un roadbook bien fournit qui permet d'éviter bien des pièges, le site propose de nombreux services en ligne de qualité. Par exemple, "Mon-Opquast" est un outil de gestion de la qualité des sites Internet. Il vous sert à évaluer et à enregistrer l'état d'avancement de la qualité de vos sites par rapport aux bonnes pratiques Opquast. L'utilisation de ce service est libre et gratuite. Elle est toutefois limitée à la gestion de trois sites. Les partenaires commerciaux du projet peuvent quant à eux gérer un nombre illimité de sites.


Dreamweaver, un outil de RAD pour PHP

0 comments

Yannick Bouvard, auteur du livre Dreamweaver MX avec PHP/MySQL et l’association Française des Utilisateurs de PHP (AFUP) ont le plaisir de vous inviter à une rencontre sur le sujet : Dreamweaver, un outil de RAD pour PHP.

L’espace d’une soirée, notre auteur abordera les possibilités de développement rapide d’applications (RAD) dynamiques offertes par Dreamweaver. Les avantages et inconvénients de cette solution seront discutés à bâtons rompus avec le public.

Date : Le Jeudi 14 Avril 2005 à partir de 20 heures
Lieu : Espace FIAP JEAN MONNET - Paris



Une nouvelle étude de suivi du regard ("eye tracking study") nous permet d'actualiser nos connaissances sur le comportement de lecture de l'internaute. Menée au Etats-Unis par The Poynter Institute en collaboration avec The Estlow Center for Journalism & New Media, ainsi que la société Eyetools, qui apporte son expertise technologique, ce document est une mine d'or.

A consulter d'urgence.

Souce : redaction.be


Architecture expérimentale

1 comments

On vient de me prêter de magnifiques ouvrages : Les catalogues des expos Archilab d'Orléans 2002 et 2004, ainsi que le volumineux "Architectures Expérimentales" qui présente un florilège de maquettes réalisées entre 1950 et 2000. Il y a vraiment des projets qui sucitent l'admiration. A lire et à contempler absolument. J'en profite également pour vous glisser un lien vers le site des frères Bouroullec dont la rubrique portfolio est impressionnante. J'en profite également pour faire un lien avec le WIF puisque cette année, l'Université du Webdesign (séminaire, ateliers, démos) sera très orienté sur des questions d'architecture.



CanalSUP-Emploi, la web TV de l'Université de Limoges, vous aide à créer votre CV dynamique !

Retrouvez prochainement, sur le site de CanalSUP Emploi (www.canalsup.unilim.fr), une toute nouvelle CVThèque, intégrant webdesign et vidéo.

Vous aurez la possibilité de créer et de mettre en ligne, sur internet, un CV dynamique, interactif et personnalisé.
Aussi CanalSUP Emploi vous donne la possibilité de vous présenter sous format vidéo pour donner plus d'impact à votre CV.
Vous pouvez dès à présent vous inscrire pour notre prochaine session d'enregistrement qui aura lieu le 7 avril 2005 à l'IUT.

Pour plus d'informations et/ou pour vous inscrire, contactez Sonia RENAUD au 05.55.14.91.87 ou par courriel à sonia.renaud@unilim.fr


south by southwest festivals : le palmarès

0 comments

Vous trouverez ici les gagnants du concours 2005. Le palmarès a été dévoilé le 15 mars à Austin Texas.



La webjam s'annonce acharnée! En effet, sur le blog "@lter Ego" de Jerôme Forget, on apprend que certains étudiants vont bénéficier de formations intensives pour être fin prêts lors de la phase de présélection internationales au mois de novembre. Pour rappel, cet événement se déroulera au Québéc à l'Université du Québéc en Abitibi-Temiscamingue, dans la ville de Rouyn-Noranda. Ces présélections se dérouleront en simultanée aux quatre coins du monde.


Perplex City - Le Grand Jeu

0 comments

Une petite annonce renvoie à un site web, une carte postale conduit à une vidéo, puis à un indice caché dans un lieu réel. Bienvenue dans l'«Alternate Reality Game», une folle chasse au trésor planétaire. Mais qui est derrière tout ça?

Par Marie LECHNER

vendredi 18 mars 2005 (Liberation - 06:00)


«19 mars, 12 h-13 h GMT. http://www.abbeyroad.co.uk/virtual_visit/webcam : demander Dinah.» L'adresse URL renvoie à une image de webcam pointant vers un carrefour sur Abbey Road à Londres. «Peut-être que ceci est le début du jeu ?», se réjouit PSH. «C'est presque certain, confirme Growfybruce. Nous avons désormais une heure, un lieu, un nom.» Sur le forum Unfiction, l'excitation est à son comble. Growfybruce dit qu'il n'habite pas loin et qu'il se rendra au rendez-vous samedi, SpaceXplorer aussi y sera et certainement beaucoup d'autres sur le Web, les yeux braqués sur les images de la webcam.

Depuis des mois des milliers de participants guettaient les premiers signes tangibles du nouvel ARG (alternate reality game) Perplex City. Un acronyme nerd pour désigner ces fictions immersives qui brouillent les frontières entre le monde réel et imaginaire, se déploient à la fois en ligne et dans la vraie vie, se propagent par tous les canaux : coups de fils anonymes, chasses aux trésors dans la ville, textos, dans les journaux, pubs télé, affiches, e-mails, sites Internet, etc.

Depuis le 17 février, des petites annonces sibyllines ont été distillées dans la presse internationale (dans USA Today, puis le 22 dans le New York Sun, le 23 dans le Times, le 28 dans le Sydney Daily Telegraph, le 2 mars dans le journal québécois la Presse, le 5 dans le Toronto Globe and Mail, le 8 dans le Los Angeles Times, le 14 sans le South China Morning Post). Toutes, quoique différentes, évoquent la disparition d'un mystérieux cube. Dans le LA Times, on pouvait lire par exemple «PERDU. Le Cube. Récompense offerte. Le Receda Cube est un artefact archéologique d'origine inconnue. Il a des propriétés scientifiques inhabituelles et a été largement étudié par l'Academy ces dernières années. Plusieurs groupes religieux et mystiques. www.perplexcity.com, sente@perplexcity.» Les internautes suivent de près ce compte à rebours, guettant les journaux, scannant et analysant les annonces, esquissant les premières hypothèses.

Ces jeux de pistes interactifs qui peuvent tenir en haleine des joueurs pendant des mois aux quatre coins du globe sont apparus dans la foulée de The Beast (Libération du 27 avril 2001) ou de I Love Bees. Toutes deux des créations d'Elan Lee (récompensé par le prix de l'innovation lors du Game Developers Choice Awards le 9 mars), assisté de l'écrivain de science-fiction canadien Sean Stewart.

En janvier 2001, l'équipe avait posé les prémices du genre en lançant dans le plus grand secret The Beast (1), un jeu qui a captivé plus de 3 millions d'internautes intrigués par un crédit suspect à la fin de la bande-annonce du film A.I. de Spielberg. De fil en aiguille, ils ont été embarqués dans une quête de plus en plus complexe avec un meurtre à résoudre, faisant intervenir un arsenal de pages Web, numéros de téléphone, fax, mail... «Nous réfléchissions à un jeu qui se fondrait dans votre vie», a déclaré Elan Lee, lors d'une convention dédiée aux ARG (1), quelque chose «qui vous interrompt au milieu d'une réunion de travail, vous envoie un e-mail d'origine bizarre, vous transmet des messages cryptés dans les sonneries de téléphones. Les gens passent leur journée cernés par un système qui leur donne l'impression d'être des agents secrets, des détectives de classe mondiale ou le gosse le plus cool du pâté de maisons» (1).

Opération marketing?
Expansion des thèmes et de l'histoire d'A.I., The Beast a été conçu pour promouvoir le film de Spielberg, tout comme son successeur I Love Bees pour annoncer le jeu vidéo Halo 2, best-seller de la Xbox Microsoft. Quant à Microids, il s'apprête à lancer un ARG pour promouvoir son prochain jeu d'investigation, Still Life, à paraître en avril. D'où les suspicions. Les ARG ne sont-ils pas avant tout une opération marketing emberlificotée ? Les usagers, propagateurs malgré eux de la marque, ne sont pas dupes de ces stratégies virales mais ont tendance à passer outre, du moment que l'intrigue est de qualité. Par ailleurs, note Steve Peters, musicien de Las Vegas, fondateur en 2002 du réseau Alternate Reality Gaming Network consacré à l'actualité des ARG, «tous les grands succès ne faisaient jamais référence directement aux produits dont ils faisaient la promotion. Si c'était le cas, je pense que les joueurs les auraient délaissés». Peters précise que, depuis The Beast, une douzaine d'ARG ont bourgeonné, pas tous pilotés par des intérêts mercantiles : «Certains comme Lockjaw, Chasing the wish ou Acheron sont des jeux développés par des fans qui ont connu un certain succès. Même s'ils n'ont pas les gros budgets des précédents, ça ne les empêche pas d'être bien ficelés.» Ces jeux, s'ils ont attiré un nombre plus réduit de joueurs, ont servi d'entraînement à une génération de concepteurs qui tente de perpétuer le médium hors du sponsoring commercial. Les ARG ont également inspiré des grands éditeurs comme Electronic Arts avec Majestic, première tentative de créer un jeu de conspiration en ligne par abonnement qui utilisait des techniques similaires à The Beast, avec un palier supplémentaire dans l'intrusion : le joueur qui avait accepté de laisser ses coordonnées recevait des coups de fil et des fax qui lui étaient directement adressés. Une expérience ludique à la limite de la paranoïa, stoppée net après les attentats du 11 septembre. En France, c'est Eric Viennot qui a décliné le concept dans l'excellent In Memoriam.

«Ce qui rend les ARG uniques et addictifs, c'est que tout se passe en temps réel : les sites sont mis à jour, de nouvelles énigmes sont découvertes pendant que le jeu se déploie.» D'autant plus captivant quand ça se prolonge dans la vie réelle, souligne Peters, «qu'il faut décoller le cul de la chaise pour répondre à un coup de fil dans une cabine téléphonique, trouver un CD-Rom dissimulé quelque part dans la ville, ou recevoir un appel d'un personnage du jeu.»

Vrai coup de fil.
C'est ce qui a fait le succès d'I Love Bees l'automne dernier. Dans le scénario, un site anodin consacré aux abeilles était parasité par une forme d'intelligence artificielle, appelée Melissa. L'entité donnait des indices aux joueurs en appelant au hasard 1 400 cabines téléphoniques dispersées aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, en France, en Australie et en Nouvelle-Zélande. «On avait la localisation GPS de la cabine, quand le téléphone sonnait, il fallait donner le mot de passe pour faire avancer l'histoire, raconte Adrian Hon, 22 ans, étudiant en neurosciences à Oxford. Finalement, on a trouvé notre cabine sur Dean Street à Soho, une douzaine de personnes zonaient chaque jour à l'attente du fameux coup de fil.»

Conquis, Adrian s'est pris de passion pour ces jeux, à tel point qu'il a fini par laisser tomber sa thèse pour devenir lui-même concepteur d'ARG. Et pas n'importe lequel, puisque c'est lui qui tire les ficelles de Perplex City (lire ci-contre), un jeu sur lequel il travaille depuis un an. Le Puppet Master (surnom donné au concepteur de l'ombre) qui opère ­ fait rare ­ à visage découvert a essaimé les premiers indices de ce jeu très attendu, dont on ignore qui est le commanditaire. Le teasing a commencé en mars 2004 avec un pré-jeu intitulé Projet Syzygy. Le 15, une mystérieuse offre d'emploi affleurait dans les pages du quotidien britannique The Guardian. L'annonce débute comme une invitation «Avez vous jamais vu The Game avec Michael Douglas ? Le reste du message est un incompréhensible enchevêtrement de lettres : GC'VC MVCZOEBJ Z MLFAUCOCUK BCG OKAC LR JZFC. KLS AUZK CICVKGTCVC. MUSCQ QSVVLSBD KLS EB BCGQAZACVQ, FZJZXEBCQ, REUFQ, YLLHQ, IEDCL JZFCQ, IEZ OWO ZBD ZMVLQQ Z QAVZGUEBJ FZXC LR GCYQEOCQ soit GC'VC MVCZOEBJ Z MLFAUCOCUK BCG OKAC LR JZFC. Après un patient décryptage, les joueurs parviennent à la traduction suivante : «Nous créons un type de jeu radicalement nouveau que vous jouez partout. Des indices vous environnent dans les journaux, les magazines, les films, les livres, les jeux vidéos, via SMS et un dédale exponentiel de sites Web.» L'annonce se concluait par un encourageant «Vous avez passé le premier test, maintenant suivez le lapin blanc» et pointe vers un site, www.projectsyzygy.com. Cette première étape va révéler les grandes lignes de l'intrigue : «Projet Syzyvy serait un projet de recrutement mis en place par Sente, le maître de Perplex City et l'équipe de la Perplex City Academy pour retrouver un cube manquant. Un cube à la valeur inestimable qui serait une pierre d'angle de leur société», peut-on lire sur le Wiki (outil de publication collaboratif) consacré au jeu, qui fait régulièrement le point sur l'enquête. Sur Unfiction, le forum de référence, ils sont déjà des milliers à scruter le moindre indice, à livrer leurs analyses. Car ce type de jeu est social et collaboratif, fidèle à la nature de l'Internet. Peu de chance de réussir à débrouiller l'énigme tout seul. Des communautés se créent sur le réseau, les participants mettent leur énergie et leurs compétences en commun pour progresser dans l'enquête.

Cerveau collectif.
En décembre, nouveau soubresaut qui fait grimper la fièvre. Des cartes postales ont été retrouvées à l'aéroport de Bologne en Italie, à Chapel Hill en Caroline-du-Nord, ou encore dans un Starbucks à Cambridge en Angleterre. Elles représentent une peinture de Perplex City la nuit, avec à son dos un message manuscrit de Sente, le maître de Perplex City, et l'adresse Web du site. A peine le temps de mettre le scan en ligne que le cerveau collectif commence son travail de fourmi, pour parvenir aux conclusions suivantes : certaines des fenêtres de l'immeuble représentées sur la carte sont allumées, d'autre non : un code binaire dont la traduction est «Hello world». Le drôle de graphique à la place du timbre est un sémacode qui, décrypté, donne l'adresse du site, etc. Parmi les mystères non élucidés, le chiffre 2210 qui apparaît en gros près de l'emplacement du timbre. Parmi les hypothèses, 2210 pourrait être une anagramme de 2012, l'année où Londres est candidate à l'organisation des Jeux olympiques. En fouinant sur le Web, certains ont découvert que la page consacrée aux JO a été créée par une compagnie de webdesign appelée Syzygy, simple coïncidence ?

Mi-février, c'est une vidéo qui est apparue sur le site, un road trip nocturne dans une grande ville, entrecoupé de titres de journaux associés à une date, celles de la publication des annonces sus-citées. Les joueurs ont trouvé où la vidéo a été filmée (dans le quartier de Shinjuku à Tokyo), sans savoir encore ce que ça signifie. Ils ont observé que cette vidéo avait été modifiée à trois reprises. La dernière modification opérée le 11 mars indiquait : «Now New York City» et «SE Fifth and 40 TH Alice». La localisation conduit à une bibliothèque. L'un des participants s'y rend, le mot Alice lui suggère d'aller regarder du côté de Lewis Carroll. Bonne intuition, puisqu'il découvre dans les cinq exemplaires d'Alice au pays des merveilles rangés sur les rayons une copie de la carte postale de Perplex City avec un Post-it collé dessus. Le message semble compléter celui paru dans le LA Times. En attendant le top départ, des armées d'internautes décortiquent les documents dont ils disposent déjà, en espérant que rien ne leur a échappé. Prochain rendez-vous donc, le samedi 19 mars à 12 heures. Les montres doivent être réglées sur le méridien de Greenwich.



(1) www.4orty2wo.com, www.seanstewart.org/beast/intro
(2) Cité par le magazine australien The Age: www.theage.com.au


Nouvelle version de WebDesign

0 comments

Rage Software propose une nouvelle version de WebDesign [2.6 - US]. WebDesign est un logiciel qui permet de créer des sites Internet, dans un esprit différent de ce que permet un Dreamwaver ou un Golive. Avec WebDesign, le WYSIWYG n’est pas privilégié. On met plutôt la main dans le cambouis du code, même si on peut voir immédiatement le résultat. La mise à jour apporte le support du JavaScript, du XML, de l’ASP et du VBScript. La syntaxe prend des couleurs pour mieux aider le développeur. Par ailleurs, le support de Bonjour est au rendez-vous (jeu de mots facile). WebDesign est vendu 29,95 $.

Source : macgeneration.com



Ce week-end, je suis tombé sur cette article sur un blog canadien. Apparemment, les canadiens ont pris pas mal de retard sur l'Internet sans-fil. Voilà qui est surprenant. Je me souviens d'avoir mis les pieds sur un territoire déjà concquis aux TIC lors des présélections du WIF 2004.

La guerre
Aurore Lehmann


Benoît Grégoire: "La gratuité ne constitue qu'une première étape."

Une association montréalaise recycle avec brio un vieux fantasme de l'ère informatique en propageant l'accès gratuit à Internet sans-fil dans les lieux publics.

Le Laïka, heure de pointe. Difficile de se frayer un chemin entre les tables du bar, pris d'assaut, comme à l'accoutumée, par la faune du boulevard Saint-Laurent. L'atmosphère est conviviale, la musique live, les discussions bruyantes. Ici on parle en anglais, là en français, quelquefois en russe. Le Laïka est un Hotspot: depuis peu on peut y surfer gratuitement sur Internet avec son ordinateur portable. Une gracieuseté du regroupement Une île sans fil, à qui l'on doit d'avoir accès au net dans près d'une trentaine de lieux à Montréal (cafés, bibliothèques, parcs, restaurants, galeries d'art), sans débourser le moindre sou et... sans jamais se prendre les pieds dans les fils.
Depuis juillet 2003, date de la création de l'association, des bénévoles sillonnent la ville en faisant passer le message: pour 50 $ d'abonnement par année et 150 $ de matériel, n'importe quel commerce (ou espace public) peut se transformer en hot spot. Premier sur la liste, le café Utopik a depuis fait des petits et les points d'accès se multiplient. Le service, quant à lui, est discret et efficace: un petit boîtier installé tout près de la caisse enregistreuse et le tour est joué, les clients peuvent s'en donner à cœur joie pendant des heures. Bruno Ricciardi Rigault, le patron du Laïka, est ravi: l'installation de la borne d'accès vient affirmer avec force sa volonté de faire du bar un lieu de rencontre et d'échange, mais aussi une plateforme de diffusion culturelle. Car à y regarder de plus près, le projet d'une île sans fil ne s'arrête pas à l'accès gratuit à Internet. Benoît Grégoire, membre actif du groupe, aime à répéter que "la gratuité ne constitue qu'une première étape", un leitmotiv pour ceux qui, à terme, ne souhaitent rien de moins que "modifier les règles du marché des télécommunications".

Visionnaires, peut-être. Doués, sûrement. Les bénévoles de l'association mettent les bouchées doubles pour que Montréal perde son retard sur les autres grandes villes du monde. Et la tâche est énorme: alors que le Canada commence à peine à s'intéresser au sans-fil, en France le marché est d'ores et déjà quasiment saturé, une communauté de l'Internet sans-fil s'est fédérée depuis Paris jusque dans la majeure partie des villes de province sous l'égide de France Wireless; dans les coins les plus reculés, les antennes poussent sur les toits des églises et on organise même des week-ends Wifi sur les pelouses des parcs parisiens où on propose de naviguer sur le Web gratuitement entre deux sandwichs. Aux États-Unis, certaines villes offrent l'accès à Internet haute vitesse sans-fil gratuitement à leurs concitoyens et en font même profiter les visiteurs. Un peu partout ailleurs, ce sont les compagnies des télécommunications qui s'engouffrent dans le marché, investissant les gares, les hôtels, les chaînes de restauration.

Bien qu'encore peu apparent au Canada, Internet sans-fil est considéré comme une révolution en devenir, le changement majeur des dix prochaines années. Si les utilisateurs sont encore relativement peu nombreux (pigistes, artistes, professions libres), on parie déjà sur une explosion du marché accompagnant la baisse de prix des ordinateurs portables. Rien d'étonnant dans ces conditions à ce que les compagnies privées veuillent tirer leur épingle du jeu dans ce marché prometteur. Plus étonnante est la timidité de ces mêmes compagnies, qui accusent, une fois n'est pas coutume, un sérieux retard. Vidéotron, qui se dit elle-même "leader du marché haute vitesse au Québec", ne compte pour le moment que 16 points d'accès et la compagnie Rogers, "le plus grand fournisseur de services sans-fil de voix et de transmission de données", a attendu jusqu'au 22 février dernier pour présenter en grande pompe son premier projet WiFi, en collaboration avec les cafés Second Cup. Dans les deux cas le service est payant.

Un casse-tête. C'est ce que représente en réalité le marché de l'Internet sans-fil pour les grosses compagnies. La diffusion d'informations par ondes interposées ne souffre pas de frontières, on risque à tout moment de se marcher sur les pieds. Raison pour laquelle les fournisseurs de services sans-fil du Canada ont été contraints en mars 2004 à une entente en vertu de laquelle tous les points d'accès commerciaux publics exploités présentent une image de marque commune. Les signataires de l'entente, Bell Mobilité, Microcell Solutions, Rogers Sans-fil et Telus Mobilité, s'engagent donc à respecter leurs intérêts mutuels et le consommateur est assuré de ne pas avoir à payer, en plus de son propre abonnement, un forfait au service concurrent. C'est ce que Peter Barnes, PDG de l'association canadienne des télécommunications sans fil, compare au système Interac et qui devrait se concrétiser à l'automne 2005. Une solution, selon monsieur Barnes, adaptée au "modèle concurrentiel" du Canada, mais qui s'inscrit dans un "marché à risque", pour lequel il aura fallu trouver des modes de paiement adaptés.

Et si risque il y a, c'est peut-être du côté d'une autre forme de concurrence. Car d'ici septembre 2005, à Montréal il se pourrait bien que les points d'accès connaissant la plus rapide expansion soient ceux mis en place par Une île sans fil, qui élabore plusieurs projets d'envergure. Il sera alors difficilement justifiable de faire payer au consommateur un service accessible gratuitement dans le commerce adjacent. Une possibilité que n'écarte pas Peter Barnes, qui tempère tout de même: "Si des bénévoles veulent offrir le service gratuitement, rien ne peut empêcher ça, mais il y a des limites au bénévolat, notamment en terme d'investissement" Et de rappeler, lorsqu'on évoque l'hypothèse d'un partenariat public/communautaire, que l'industrie des télécommunications est aussi une "grosse payeuse de taxes", avant de conclure: "Ce n'est pas inquiétant, mais c'est une réalité". Une réalité, certes, qui a poussé certains états américains à adopter des lois protégeant les compagnies privées d'une éventuelle concurrence publique jugée déloyale.

Quoi qu'il en soit, la démarche de groupes comme Une île sans fil ébranle le fonctionnement actuel des compagnies de télécommunications. Un sacerdoce pour ses fondateurs, qui s'accompagne d'une vision sociale d'Internet. Michael Lenczner est l'un d'eux, pour qui "le désir d'interagir avec les Montréalais est plus fort que la notion de service au client" et qui ne récuse pas le terme de "bataille idéologique" pour qualifier son engagement. Tout comme lui, Benoît Grégoire insiste sur le volet culturel et social du projet: "Une île sans fil a été fondé pour servir de plateforme de diffusion aux arts visuels et de lien communautaire". La sémantique n'est pas tout à fait neuve, mais découle en ligne directe d'un mouvement de pensée vieux de presque quarante ans, comme l'explique Thierry Bardini, professeur à l'Université de Montréal, spécialisé notamment en sociologie de l'innovation technique: "Dans les années 1970 se sont succédés différents projets, comme le Community Memory Project, à Berkeley, ou bien encore le projet Pen en Californie, qui visaient principalement à démocratiser l'usage de l'ordinateur. C'était aussi la bataille de l'accès, menée par Richard Stallman, fondateur du mouvement pour le logiciel libre, durant la même période. Une ère bénie pour les rêveurs, qui a pris fin brutalement avec l'arrivée de Bill Gates".

Nouvelle ère. La stratégie adoptée par Une île sans fil et ses visées sociales ont en tout cas trouvé preneur à Montréal et remettent possiblement en question la viabilité du service payant proposé par les compagnies privées. À suivre...


AtomFilms

0 comments

AtomsFilms n'en finit pas de produire des courts en flash aussi fous les uns que les autres. La mini-série Ninjai marche très fort sur le web. Si vous ne connaissez pas encore, allez faire un tour sur le site portail. Pour voir les différentes réalisations, il faudra vous inscrire.


Nouveau numéro d'ETAPES

0 comments

Avec un soleil pareil, j'irais bien feuilleter le numéro de mars dans un coin de la région. Voilà de quoi bouquiner ce week-end.


Relookage pour la SNCF

0 comments

Cette semaine la SNCF s'est faite peau neuve avec un nouveau logo. Plus coloré, une police plus arrondie et plus moderne, une forme dynamique...
Maintenant, il ne reste plus qu'à faire arriver les trains à l'heure...


Neurones sous hautes-pression

0 comments

Quelle journée! Petite course ce matin pour préparer une réunion de concertation avec les acteurs locaux de la vie universitaire. Objectifs : mettre en place de nouvelles formations consacrées au Webdesign à très court-terme. Un projet prometteur qui m'annonce encore de courtes nuits! Après cette mise en jambe, formation intensive à l'analyse de business plan avec un grand cabinet de consulting français. Pour me relaxer, et comme c'est vendredi soir, je cours piloter un important projet web. Si je termine avant 4h00 du matin, ce sera raisonnable.


WIF : Nouveau logo

0 comments

Voici le nouveau logo du WIF. Plus moderne, plus agressif, un peu organique... Ceux qui ont vécu l'édition précédente pourront y voir le lien avec le logo 2004!


L'arbre aux vers

0 comments

Quand on parle de concepts originaux pour mettre en scène son portfolio, rien de tel que d'illustrer ses propos avec l'exemple d'un site comme treeworm.com. A travers un univers sombre mais riches en surprises, la graphiste Jennifer Ricker nous propose de découvrir quelques-unes de ces créations. A noter que ce site a été récemment primé par le concours Photoshop World - Guru Awards 05 -.


UIA 2005 Istanbul Congress

0 comments

Je veux y aller!! Le 22ème congrès mondial d'architecture se déroulera à Istanbul du 3 au 10 juillet 2005. Expos, séminaires avec les grands de la planète, ateliers, compétition, convention d'affaires... Tout y est. S'il ne devait y avoir qu'un événement autour de l'architecture ce serait celui-là.


L G & F

0 comments

Pas facile de se souvenir du nom de cette agence! Et pourtant, le travaux présentés sur ce site porfolio méritent le détour. D'ailleurs, l'interface de présentation est autant originale que conviviale.


Coup de projecteur sur Susanne Paschke

0 comments

Susanne Paschke est une jeune illustratrice indépendante. Cette jeune berlinoise propose un style graphique audacieux et très coloré. Je vous invite à découvrir son travail sur son site portfolio.


Comment exposer ses créations au Japon?

0 comments

Oui, vous ne rêvez pas, c'est bel et bien possible et avec des interlocuteurs français. La gallerie "Design Festa" situé au coeur de Tokyo, dans le quartier d'Harajuku, expose des artistes issus de tous les domaines. Seule ombre au tablau, les tarifs demandés sont exhorbitants!



Ce site regroupe les travaux de quelques artistes, graphistes et photographes plutôt réussis.


Watashi wa nihon-go ga sukoshi wakarimasu

0 comments

Ca faisait bien longtemps que je n'avais pas eu l'occasion d'échanger quelques mots en Japonais. La rencontre de ce matin laisse à penser que le WIF vivra peut-être ses premières heures au Japon en 2005. A suivre! Avec les cours de chinois d'hier soir, je vais finir par y perdre mon latin.


Killersites.com

0 comments

Je viens de tomber sur un article qui parle de ce site ressources. Pas tout jeune mais au combien précieux. Il y a pleins de tutoriaux, d'explications et un forum très actif. Incontournable!


Plateforme collaborative en libre : GRANIWARE

0 comments

Graniware est la plate-forme de services mutualisés du Limousin mise en oeuvre dans le cadre du programme européen Practiciel.
De nombreux outils vous permettent facilement et efficacement de créer, de gérer et d'animer autant de communautés d'usages que vous le souhaitez. Les outils sont en perpétuelle évolution et Graniware grossit un peu plus chaque jour.
Graniware est distribué sous les termes de la licence GNU GPL.
N'hésitez-pas, connectez-vous!


L'animation flash du jour

0 comments

Ca ne sert à rien mais c'est bien pensé.


Web Analytics Demystified

0 comments

Urgl*, je viens de m'avaler "Web Analytics Demystified" d'Eric T. Peterson. Un petit ouvrage sympa qui ne révolutionne pas le sujet mais l'approche marketing de l'usabilité du web y est intéressante. Avec ce type d'ouvrage les annonceurs peuvent se poser les bonnes questions avant de vouloir effectuer tel ou tel changement sur leur site web.


NID GALLERY

0 comments

Portfolio de l'Institut de Design de NaGaoka. Attention, la navigation n'est pas facile à prendre en main mais le concept est amusant. Il y a aussi quelques perles dans les travaux réalisés par les différents stagiaires.


Timothy Saccenti

0 comments

A découvrir, le portfolio du photographe Timothy Saccenti. La navigation n'est pas nouvelle mais reste séduisante.



Le spot pub du week-end!


Fin de semaine studieuse

0 comments

Après deux jours de formation à l'analyse stratégique pour l'accompagnement des dirigeants dans leurs projets de développement, j'ai eu l'occasion de mettre en pratique ces nouvelles compétences avec des porteurs de projet rencontrés ce jour. Oui, je sais, on est samedi! ;-) Peu importe, le concept de pédagogie à l'environnement par le webdesign dont m'ont parlé les deux jeunes créateurs était vraiment alléchant. Affaire à suivre...


The Information Architecture Institute

0 comments

L'AIfIA créée en 2002 est devenu l'IAI pour Information Architecture Institute. Ce réseau d'expert travaille sur les notions de normalisation et d'accessibilité. Il rassemble 600 membres dans 40 pays. Une partie du site est disponible en Anglais.


Les Mechas enfin parmi nous!

0 comments

Beaucoup connaissent déjà cette pub. Je n'hésite pas à vous indiquer à nouveau le lien pour la visualiser tant je la trouve réussie.



Jameson Irish Whiskey launches a St. Patrick's Day Campaign on the 1st March. The Campaign challenges consumers to put Jameson with a mixer (coca cola, lemonade, ginger ale) as an alternative St. Patrick's drink to the traditional beer or stout.

The campaign idea "Mix it up a bit" also offers the chance to win a trip to New York, to stay in a luxury apartment with 5 "like minded strangers".

John Wood, Managing Director of Beechwood says:
"The whole idea is just part of a whole new positioning for Jameson- a drink for those with the confidence to be a bit different. The idea translates through all trade channels including major multiples, wholesalers, bars and pubs and puts the new Jameson strategy at the heart of their promotional campaigns".

Beechwood were appointed by Pernod Ricard UK after a three way pitch in October 2004.


Contre la pub ordinaire!

0 comments

Plus qu'un livre, un manifeste contre la publicité d'avant-guerre.


Le marketing TV est-il mort?

0 comments

Pour l'agence Saatchi & Saatchi UK, le marketing TV ne vaut plus grand chose. Pour lire l'article complet, suivez le lien!


SpaceMountain 2, lancement à haut-débit

0 comments

Pour ceux qui ont la chance d'avoir de grosses connexions web, le site du jour pourrait bien être celui du parc Eurodisney qui, avec sa nouvelle attraction, SpaceMountain2, vous invite à un voyage à la vitesse de la lumière.


Futur Vision by Vodafone

0 comments

Découvrez l'Internet de demain par Vodafone.


Le nouveau bouquin de Seth Godin

0 comments

De très bonnes choses dans le nouvel ouvrage de Seth Godin. Il s'intitule All Marketers Are Liars, rien que ça!


Bzzzz agent et ses 76000 bénévoles

0 comments

Le journal Le Monde revient sur le phénomène Bzzzz Agent.



Petit exercice amusant. Dans la suite des pipotrons voici une petite routine qui devinera ce à quoi vous pensez en une vingtaine de questions.


Flash : "Ouvrir un bureau de représentation à Canton"

0 comments

Il font un excellent boulot, sont dynamiques et très pros alors un petit coup de pub!

Vous pouvez dès aujourd'hui vous procurer le guide « Ouvrir un bureau de représentation à Canton : conseils juridiques et répertoire des contacts utiles ».

Rédigé par la Mission Economique de Canton (province du Guangdong), en collaboration avec les cabinets français présents sur place. C'est un outil de choix pour qui veut se lancer sur le marché chinois.
Pour le commander, contactez-moi par mail (b-duverneuil@ard-limousin.fr), je vous mettrais en relation.


Sin City - Site web officiel et trailer

0 comments

Comment ne pas dire deux mots de ce projets hallucinant. D'un côté, la BD de Miller, de l'autre, le doux-dingue Roberto Rodriguez. Avec un cast de premier choix et un point de vue graphique très particulier, le film risque d'être l'un des plus attendus de l'année. Pour ce faire une petite idée, je vous invite à visiter le site officiel qui n'est pas mal réalisé et à visionner le trailer :
http://www.sincitythemovie.com/


Debra Hill nous a quitté

0 comments

Sale journée, Debra Hill, sans qui la série des Halloween n'aurait pas existé, n'est plus. Elle est décédée ce lundi à L.A.
RIP.


Courts-métrages alternatifs japonais

0 comments

Cette sélection présente quelques uns des films réalisés dans des laboratoires alternatifs nippons ainsi que des films se situant dans l’évolution du post-formalisme japonais contemporain. Pour les cinéastes de cette sélection, il s’agit de mener, sur support filmique, une recherche sur la matière et de tenter de quitter le système de production cinématographique commercial.

Mardi 22 mars 2005, 20h
Cette seconde programmation propose à la fois des films questionnant davantage les procédés narratifs et des films développant différentes techniques d’animation expérimentale.

LILY IN THE GLASS de Shiho KANO
2003, 16 mm, coul, son, 6 min.
EMA - EMAKI de Takashi ISHIDA 2003
16 mm, coul, sil, 3 min.
BREATHING CLOUD de Naoyuki TSUJI
2003, 16 mm, n&b, sil, 3 min.
SYUNSOKU 5 de Akira MIZUYOSHI
2003, 16 mm, coul, sil, 3 min.
FRONTIER de Jun MIYAZAKI
2003, 16 mm, n&b, son, 23 min.
BLOOMING INK TALE de Kentaro ONITSUKA
2004, 16 mm, coul, son, 10 min.
STITCH de Tetsuya HIROSHIMA
2002, 16 mm, coul, son, 10 min.
HANA - FLEUR de Yuiko MATSUYAMA
2004, 16 mm, coul, son, 5 min 30.

Tout ce joli programme est à voir à :
Centre Wallonie Bruxelles
46 rue Quincampoix
75004 paris

tel : 01 46 59 01 53
Prix des places : 4 euros
* séances spéciales : 5 euros
Contact presse : tél : 01 46 59 01 53
lightcone@lightcone.org
Et le tout est organisé par Scratch Projection



Parlons un peu de cinéma asiatique, l'un des derniers cinémas du monde et l'une de mes innombrables passion.

Bref, ce week-end, ce sont déroulées les 10ème trophées d'or Bauhinia.

Meilleur film : Kung Fu Hustle. Pas de suprise, on l'attendait. Stephen Chow continue son bonhomme de chemin avec des films toujours plus fous les uns que les autres.
Derek YEE Tung-Shing s'en sort bien avec le titre de meilleur réalisateur pour One Nite in Mongkok. Au passage, il rafle la mise devant Stephen Chow et Wong Kar Waï.
Christopher DOYLE still the best, meilleur directeur photo pour 2046. Il n'y a pas à dire, c'est bien le directeur photo de la dernière décennie. Ce type est un génie.
2046 était donc à la fête puisque Tony Leung a aussi remporté le prix de meilleur acteur.
Sinon, ça fait plaisir, Liu Chia-Liang, a reçu un prix spécial pour l'ensemble de sa carrière.


Magazines online

0 comments

La bonne surprise du jour!
Ces petits magazines online dont le développement est soutenu par Diesel et Sony Ericsson sont vraiment très sympas. MagWerk édite vos zines avec tout ce que le webdesign peut apporter en dynamisme et interactivité. Un bonne idée pour communiqué autrement autour de son support papier.


Y Design Conference

0 comments

La Y Design Conference de San Diego propose un programme de conférences des plus allêchantes. Pour les chanceux qui peuvent s'y rendre, un seul conseil : courez-y!!


Contest Diesel Wall

0 comments

Plus que quelques jours pour participer au concours Diesel Wall qui vous permettra peut-être d'afficher vos délires graphiques sur un mur d'une grande ville italienne.


FlashForwards2005

0 comments


Pour ceux qui aiment le fullflash, un petit détour par les Awards 2005 et ses 15 catégories s'impose. Vous pouvez participer au vote du public comme chaque année. Résultat de la compétition, le 7 avril.



Alors que l'administration Bush veut passer en force avec la privatisation totale de la sécurité sociale, la contestation s'organise. En cliquant sur le lien ci-dessous, vous pourrez visualiser le spot de MoveOn.
https://www.moveon.org/donatec4/socialsecurity.html#


Tout terrain!

0 comments

Volvo lance une campagne d'affichage plutôt bien vu pour son 4x4 urbain.


Casinos sur le web

0 comments

Excellente pub pour ce portail de jeux online!
Téléchargez la vidéo ici :
http://www.viralmeister.com/movies/Bloody_Wanker.wmv


Femme fatale

0 comments

Cette petite vidéo tombe à pic pour la journée de la femme ;-) Décidémment, Bacardi ne recule devant rien pour faire la promo de son concept de fête online. A consommer avec modération bien-sûr!
Téléchargez la vidéo ici :
http://www.alphamailer.co.uk/cgi-bin/alpha.cgi?code=1349&type=download


Splinter Cell 3

0 comments

Splinter Cell 3: Chaos Theory. Il y a une démo de disponible un peu partout qui fait 600 mo. La bête s'est échappée d'un banal magazine. Depuis, tous les portail de jeux-vidéo l'ont mirroré. Ubi Soft ne serait pas très content (à moins qu'il ne soit le commanditaire de l'opération marketing!?).


Je suis un SIMS

0 comments

Ca y est! Je le tiens mon Deux Ex Machina. Me voilà transformé en SIMS. La suite du célèbre jeu vidéo permet d'aller un peu plus loin dans l'interaction réel/virtuel. Pour le coup, je tente une expérience plutôt amusante puisque tous les membres actifs de mon forum de discussion préféré ont été recréés dans le jeu. Après un peu de temps passé à le configurer, on parvient à obtenir des SIMS plutôt ressemblants.

Me voici donc, tout frais, au pays des SIMS


La vie d'un SIMS n'est pas particuliérement excitante, on fait surtout la fête. D'ailleurs, je viens d'organiser la première. Heureusement pour les convives, je suis derrière le bar. J'espère que mon SIMS saura refaire des mojitos comme je les aime!


Le guide du renard

0 comments

le guide du renard est une agence européenne de cristallisation subversive à destination de la masse populaire, nous sommes associés à la coopérative du luxe et au mouvement pour la culture de masse.
www.guidedurenard.org


The Revolution Awards 2005

0 comments

Le magazine révolution spécialisé dans le "business and marketing" in the digital economy" a rendu son verdict.
http://www.revolutionmagazine.com/Awards/index.cfm?fuseaction=Shortlist


Webdesign et Action Man

0 comments

Idée originale pour présenter son portfolio. Le webdesign devient un action man, si, si!!
http://www.noedesign.com/2005/index.html


La petite Polo fait un boum

0 comments

Dérapage incontrolée pour ces indépendants qui jugèrent bons de réaliser une petite vidéo illustrant la nouvelle petit WV. Le film montre un terroriste qui souhaite utiliser le véhicule pour se faire exploser devant une terrasse de café. Egaré sur la toile, le fichier se diffuse à une vitesse incroyable. La marque n'aurais pas apprécier. Où est le faux du vrai dans tout cela, seuls les intérressés le savent.
Pour voir le film :
http://www.boreme.com/bm/JAN05/a/vw-suicide-bomber/fr.htm


L'auteur

My status
Save This Page

Derniers billets

Archives

Tech de Pub
Affichez votre soutien


Creative Commons License
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons.
Best american blogs - Blog for USA!